ADAMA ADMATI |
Terre, ma terre Terre, ma terre, Aimée jusqu’à ma mort, Le grand vent de la sécheresse a rendu furieux Un grand vent a rendu furieux. Je te fiancerai à moi dans le sang, Car l’homme se tait Sur les collines de Scheik Abrek et Chartiha. La danse des vagues Tracera des cercles. Lève-toi Soleil – pour toujours à Chartiha, Lève-toi Soleil, à Chartiha Dans mon jour et dans ma nuit, Pour moi c’est mon travail d’être juif Sur les collines de Scheik Abrek et Chartiha. Ici, les cimes des oliviers Chantent : c’est ma maison, La pierre murmurera : anéantissez-le, Murmurera : anéantissez-le. Elle a conçu, ma mère, Mes récoltes mûrissent, Sur les collines de Scheik Abrek et Chartiha. Dans un serment de feu, Tu es ma prisonnière maintenant, Ce cœur ne se détournera pas de son serment, Ce cœur ne se détournera pas Car il m’a ordonné l’indépendance L’homme ordinaire Sur les collines de Scheik Abrek et Chartiha. |
Adamah - admati Al Givot Sheikh Abrek Adamah - admati rachumah ad moti ru'ach rav charbonaich hirti'ach eras'tich li bedam she'adam venadam al giv'ot Sheikh Abrek vechartiha Hamachol bagalim ye'agel igulim uri shemesh - la'ad bechartiha beyomi veleili li yehod amali al giv'ot Sheikh Abrek vechartiha Kan tzam'rot hazeitim mezamrot zeh beiti even even tilchash hikartihu herah, horah sheli yevulai mavshilim al giv'ot Sheikh Abrek vechartiha Bish'vuah lohatah at shvuyah li ata zeh halev et nidro lo yarti'a ki tzivani cherut ha'adam hapashut al giv'ot Sheikh Abrek vechartiha |
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Texte : Pen Alexander - Musique : Zeira Mordechai - Chorégraphie : Amishai Saadia - 1959. |